Friday, December 10, 2010

Mes expériences sont un moitié fini

Ma Vie Quotidienne
Ca fait deux mois depuis j’ai été stagiaire avec SFCG à Rabat. J’ai eu une très bonne réception au début de déménagement ici. Grace à mes compétences de la langue française, je trouve que j’ai eu une transition plus facile qu’aux autres américains au Maroc. J’habite avec une colocataire marocaine sur le 7ième étage d’un immeuble à Hassan/Centre Ville. C’est un endroit en face d’un joli parc, à côté de la médina, et proche de la gare et la mer. Chaque matin je prends un petit taxi, qui est partager avec deux autres gens et qui côte quatre dirhams chaque personne ($0.50), jusqu’au quartier Agdal. Agdal est le quartier le plus riche, la plupart des expatriés habitent, et on se trouve le bureau de SFCG.

Projets au Bureau 
Normalement je travail au bureau 9h jusqu’à 17h30 chaque jour. J’assiste au cours d’Arabe deux fois par semaine. Avant je suis arrivée au Maroc j’ai signé un contrat avec la directrice de SFCG-M autour de mes projets. Dès que mon arrivée, ma fonction est de cordonner la surveillance et l’évaluation des projets. Pour ma première tâché confiée, j’ai mise en œuvre une feuille de calcul pour noter les indicateurs de chaque projet. Le but de cette feuille est de surveiller que les résultats de chaque projet suivent les objectifs. Je suis responsable d’obtenir des chefs de projets, le nombre des activités externes et des soutiens pédagogiques qu’ils ont fait pendant le mois. J’ai eu l’impression que j’ai dérangé les chefs de projets par mes demandes. C’était comme ils ont aperçu qu’on n’avait pas la confiance dans leurs compétences d’obtenir des bons résultats. Je crois que mon expérience est un bon exemple d’un problème dans la surveillance et l’évaluation de projets. Il existe une mauvaise compréhension de la surveillance par des salariés. Souvent les chefs de projets perçoivent qu’une évaluation est une menace pour leur travail.  En fait, la surveillance et l’évaluation de projet sont utiles pour s’assurer que les objectifs au début de projet sont accomplis. En plus, après le projet, une évaluation rend d’améliorer les capacités de l’organisation.

J’ai fait des autres projets, ces derniers deux mois, qui concernent une analyse sur la vision, la mission, et les compétences de SFCG-M. Je suis en train de créer un diagramme (Problem Tree) qui montre, concrètement, les causes du grand problème que SFCG-M essaye d’améliorer, les conflits violents. Ainsi que, j’ai créé un autre diagramme qui vise les compétences de SFCG-M et la valeur qu’il ajoute dans ses projets. Les analyses se révèlent que SFCG-M comprend comment de prévenir des conflits violents. L’autre conclusion est que SFCG-M a des compétences utiles (des entrainements dans la médiation et du media avec des jeunes) pour intégrer un changement durable dans la société. Au lieu de travailler avec la population qui est ciblé de la plupart de conflits violents (les alphabets, et la classe très pauvre), SFCG-M entraine la classe moyenne, et les donne les capacités d’aider la classe populaire. Actuellement, SFCG-M travaille que dans les villes au Maroc. Il n’a pas encore touché les endroits ruraux, ni le Sahara occidental, ou les conflits violents se passent souvent.

Le terrain
Finalement, j’ai passé les meilleurs moments sur le terrain avec des jeunes médiateurs. Sur le terrain j’ai vu le rapport entre la construction d’un projet au bureau et l’exécution sur le terrain. Les objectifs, les indicateurs, et les buts sont très clairs au bureau, mais sur le terrain, ils deviennent compliqués et abstraits.

J’ai eu l’occasion de parler avec la plupart des médiateurs, âgés entre 20 et 30 ans. J’ai noté qu’ils ont profités personnellement et professionnellement, des entrainements. Beaucoup des jeunes ont parlés de leur soi d’estime, et comment ils avaient plus de la confiance de parler et approcher des gens dans leurs communautés après ils avaient fait les entrainements de SFCG. Par contre, pour la plupart des jeunes, la médiation est une manière de passer de temps pendant qu’ils cherchent un travail dans un autre cadre. La médiation n’est pas encore connue comme une occupation au Maroc. Si la médiation reste un cadre volontaire, ca sera difficile pour les entrainements d’avoir l’impact durable et à long terme sur la société.

Monday, December 6, 2010

Les Femmes au Maroc

Pendant mon travaille sur le terrain j’ai parlé avec des médiatrices autour de leurs expériences familials, des études, des travails… etc. et j’observe que ma vision de la liberté des femmes est en contradiction avec celle des femmes marocaines.

Participation Locale.
Les médiatrices disent qu'elles n'ont pas des difficultés pour participer dans la gestion locale. Cependant, je n’ai pas rencontré des femmes qui participent activement dans les affaires locales. Les médiatrices disent que les formations de la médiation sont les aider à augmenter la soi d’estime, mais quand j’ai demandé qu’est-ce qu’elles font dans la participation locale à part de la médiation, les médiatrices n'ont rien dit. Je trouve qu’elles n’ont pas un but de jouer un rôle civique dans les affaires de leurs communautés. En plus, je n’ai pas vu des leaders féminines pour encourager et motiver les femmes de chercher une carrière puissante.   Mes amies ont raconté qu’elles auraient voulu étudier la psychologie, ou le film, mais leurs parents les ont conseillé de faire les études dans un cadre plus facile, pour être sûr d’obtenir un travail. Je me demande, où es l'esprit de l'indépendance de la femme? Est-ce que la femme marocaine est prête de prendre des risques pour avancer sa vie moderne et indépendante?

La politique.
D’être mariée est très importante si une femme voudrait avoir le respect de la société ainsi que d’avoir les enfants. Quelqu’un m’a raconté que le Ministre d’Economie à Fès, une femme, est vu comme une marionnette. Les gens ne comprennent pas pourquoi elle n’est pas mariée, et pensent qu’elle a des problèmes. Elle a de difficulté d’obtenir le respect et la confiance de gens parce qu’elle est célibataire. Le Maroc a adopté le quota d’avoir 50% femmes dans les postes gouvernementales, mais le nombre de femmes dans le gouvernement n’est pas une mesure de leurs égalités.

La statu social.
J’observe que beaucoup de femmes marocaines sont contentes de s'occuper la maison et avoir les enfants selon que l'homme est riche. Les médiateurs souvent reçoivent des cas entre le mari et la femme, ou le mari ne travaille pas et c'est la femme qui est obligé de gagner d'argent et s'occuper de la maison et les enfants. La loi de la famille a été adopté en janvier 2004, et a donné la droit de la femme pour divorcer son mari. Cependant, elle doit prouver que son mari ne peut pas la supporter financièrement. Si le mari gagne d’argent et montre qu’il la donne d’argent, une maison, et des choses de valeur… etc. la judiciaire n’accepterait pas la côte de la femme.

L’amour est pour les jeunes, et ce n’applique pas aux mariés. Un mariage est un structure pratique, pour le statut social, et pour le bénéfice de la famille autour des mariés. Quand la fille est mariée, elle va quitter la maison de sa famille, et déménager dans la maison de la famille de son mari. Normalement les familles marocaines sont grandes, donc quand la fille quittera, sa famille tiendra plus d'argent. 


Les hommes cherchent une femme bien éduqué, belle, et musulmane, mais ils ne veulent pas une femme indépendante, parce que ca peut poser des problèmes de contrôle pour eux. L’indépendance des femmes n’est pas un caractéristique de valeur au Maroc.