Monday, February 7, 2011

Les origines de la violence sociale au Maroc

La violence n'existe pas au Maroc sous forme des guerres civiles, pourtant la violence sociale pose beaucoup des problèmes. Les conflits les plus courants sont entres les mariés, dans les prisons, entre les élèves et les enseignants, et l'héritage de la famille.


Les raisons à la surface des conflits sont un manque du respect, la mauvaise compréhension, et les croyances religieuses, traditionelles, et sociales. Par exemple, dans la société, il faut que le mari supporte la femme financièrement, et la femme doit lui subir à ses besoins sexuels et domestiques. Si la femme ou le mari ne suit pas à les 'règles' sociales, l'autre partenaire ne va pas lui respecter, ainsi que les bagarres commenceraient.


Les origines viennent de la pauvreté, le système d'education, et l'analphabétisme. A cause de ceux-là, les gens marginalisés et pauvres n'ont pas de connaissance ni des ressources de résoudre les conflits dans une manière non-violent et constructif. 


Ci-dessous est un schéma qui présente les origines de la violence en bas de triangle. En montant, on trouve les conséquences directs. Par exemple, on lit le schéma comme, "la pauvreté est un cause du chômage," ou, "le chomage est causé par la pauvreté, le mauvais système d'éducation, et l'analphabétisme." 



Sunday, February 6, 2011

Les grèves en Nord Afrique

Depuis les dernières deux semaines des grèves en la Tunisie, l'Egypt, et le Yemen je me demande, "Qu'est-ce que c'est les différences entres ces pays et le Maroc?" Le taux des jeunes au Maroc est 57%, et 60% des jeunes sont les chômeurs. La société marocaine perçoit que les jeunes sont incapables de gérer un profession, particulièrement la politique -  le meme chose existe dans les autres pays qui font les grèves. Les jeunes sont marginalisées dans la participation civile, la politique, l'économie, ainsi que les décisions pour l'avenir. Alors, pourquoi est-ce que les Marocains ne font pas les grèves actuellement? C'est autour de la structure gouvernementale.

Un de premiers jours que je suis arrivée, quelqu'un m'a dit que, "Je suis content que le Maroc est une monarchie, de plus, le roi a une obligation d'héritage; de prendre soins des peuples." Le Maroc souffre de la corruption et le chômage, comme ses voisins, mais les marocains sont contents avec leur roi, Mohammed VI, malgré que le niveau de la corruption au Maroc immobilise le système démocratique.  Les gens n'ont pas de confiance dans les politiciens, ni les institutions.

Si le Maroc avait un système présidentiel comme la Tunisie, ou l'Egypt, la possibilité d'un révolution citoyenne serait beaucoup plus facile. En général, les Marocains ont la confiance en Mohammed VI et ils trouvent qu'il fait le bon progrès autour du développement du pays.

La Campagne et en Ville au Maroc

J'ai fait un tour de la cote ouest et le haut atlas au Maroc pendant quatre jours.
J'ai voyagé à Essaouria, Marrakech et Immouzer. J'étais très contente quand j'ai quité les villes touristiques pour voir Immouzer.

Immouzer est un village deux heures par voiture à travers les montagnes, nord-ouest d’Agadir (une grande ville sur la cote). J’étais étonnée de voir des petits villages éparpillés dans les montagnes. Les gens suivit par l'argriculture de subsistence. Quelques gens font le bétail, ils cultivent les pommes de terres, les oranges, les olives…etc. La plupart des gens n’ont jamais parti leur endroit, ainsi qu’ils n’ont jamais vu les villes au Maroc. Ils n’ont pas assez d’argent pour payer un billet de bus.

J’ai promenadé par ane dans les montagnes et j’ai eu l’occasion de parler avec un vieux monsieur qui habite dans ce région isolé. Il est Berber et j’ai noté qu’il a toujours rémarqué l’ethnicité (Berber ou Arab) de qui il s’est parlé. Les Berbers sont les personnes indigènnes du Maroc, qui habitais dans le milieu du pays. Pendant l’histoire, le Maroc était envahi par les romains, les Arabs, les espanols, et les francais, mais toujours les Berbers ont réussi de guardé leur facon de vivre dans les montagnes. C’est un culture très fort et puissant pour l’identité du Maroc. Dans les villes il existe des stereotypes des Berbers. Normalement, les Berbers sont les vendeurs de marchandises et ils vont à l'économie. Mais, généralement, à Rabat, je n’ai pas apercu un grand importance pour les Marrocains de differencier entre les deux groups. Par contre, pendant j’ai parlé avec le monsieur d’Immouzer, il a vraiment distingué des Arabs.

L’identité d’etre Berber est très fort.

Monday, January 31, 2011

l'Engrais Phosphate

Pendant j’étais en train de faire un tour au sud de Maroc à travers de la cote ouest, j’ai passé par un endroit industriel. L’endroit, qui s’appelle le port de Jorf Lasfar, contient la plus grande centrale électrique indépendante en Afrique. Voyant cette structure, je me suis rappelé des problèmes politiques entre le Maroc et le Sahara Occidentale.

Le Maroc et le Sahara Occidentale font parti des plus grands producteurs du phosphate dans le monde. En 2001, le Maroc a classé le deuxième producteur du phosphate après les Etats Unis. Le part de marché du Maroc a été 45%. L’Australie, l’autre pays avec la Chine qui contient des grands ressources de phosphate, n’a que eu 1% du part de marché.

Depuis la Chine et l’Inde ont augmenté leur industrie agriculturel, le prix de phosphate a augmenté entre 2003 et 2005. Le prix en 2005 a été $40/tonne à $400/tonne en 2008.

C’est evident que l’intéret commercial de Maroc est de continuer de produire le phosphate ainsi qu’assurer que le Sahara Occidentale reste desous le controle de Maroc. En plus le Maroc a commencé le forage pétrolier et le Sahara contient des grands ressources d’uranium.

Références:
Philip A. Szczesnia, "The Mineral Industries of Morocco and Western Sahara," http://minerals.usgs.gov/minerals/pubs/country/2001/momyb01.pdf
"Phosphate Market," Nupower Resources Ltd. 2010, http://www.nupowerresources.com.au/INVESTORINFORMATION/PHOSPHATEMARKET/tabid/106/language/en-AU/Default.aspx

Friday, December 10, 2010

Mes expériences sont un moitié fini

Ma Vie Quotidienne
Ca fait deux mois depuis j’ai été stagiaire avec SFCG à Rabat. J’ai eu une très bonne réception au début de déménagement ici. Grace à mes compétences de la langue française, je trouve que j’ai eu une transition plus facile qu’aux autres américains au Maroc. J’habite avec une colocataire marocaine sur le 7ième étage d’un immeuble à Hassan/Centre Ville. C’est un endroit en face d’un joli parc, à côté de la médina, et proche de la gare et la mer. Chaque matin je prends un petit taxi, qui est partager avec deux autres gens et qui côte quatre dirhams chaque personne ($0.50), jusqu’au quartier Agdal. Agdal est le quartier le plus riche, la plupart des expatriés habitent, et on se trouve le bureau de SFCG.

Projets au Bureau 
Normalement je travail au bureau 9h jusqu’à 17h30 chaque jour. J’assiste au cours d’Arabe deux fois par semaine. Avant je suis arrivée au Maroc j’ai signé un contrat avec la directrice de SFCG-M autour de mes projets. Dès que mon arrivée, ma fonction est de cordonner la surveillance et l’évaluation des projets. Pour ma première tâché confiée, j’ai mise en œuvre une feuille de calcul pour noter les indicateurs de chaque projet. Le but de cette feuille est de surveiller que les résultats de chaque projet suivent les objectifs. Je suis responsable d’obtenir des chefs de projets, le nombre des activités externes et des soutiens pédagogiques qu’ils ont fait pendant le mois. J’ai eu l’impression que j’ai dérangé les chefs de projets par mes demandes. C’était comme ils ont aperçu qu’on n’avait pas la confiance dans leurs compétences d’obtenir des bons résultats. Je crois que mon expérience est un bon exemple d’un problème dans la surveillance et l’évaluation de projets. Il existe une mauvaise compréhension de la surveillance par des salariés. Souvent les chefs de projets perçoivent qu’une évaluation est une menace pour leur travail.  En fait, la surveillance et l’évaluation de projet sont utiles pour s’assurer que les objectifs au début de projet sont accomplis. En plus, après le projet, une évaluation rend d’améliorer les capacités de l’organisation.

J’ai fait des autres projets, ces derniers deux mois, qui concernent une analyse sur la vision, la mission, et les compétences de SFCG-M. Je suis en train de créer un diagramme (Problem Tree) qui montre, concrètement, les causes du grand problème que SFCG-M essaye d’améliorer, les conflits violents. Ainsi que, j’ai créé un autre diagramme qui vise les compétences de SFCG-M et la valeur qu’il ajoute dans ses projets. Les analyses se révèlent que SFCG-M comprend comment de prévenir des conflits violents. L’autre conclusion est que SFCG-M a des compétences utiles (des entrainements dans la médiation et du media avec des jeunes) pour intégrer un changement durable dans la société. Au lieu de travailler avec la population qui est ciblé de la plupart de conflits violents (les alphabets, et la classe très pauvre), SFCG-M entraine la classe moyenne, et les donne les capacités d’aider la classe populaire. Actuellement, SFCG-M travaille que dans les villes au Maroc. Il n’a pas encore touché les endroits ruraux, ni le Sahara occidental, ou les conflits violents se passent souvent.

Le terrain
Finalement, j’ai passé les meilleurs moments sur le terrain avec des jeunes médiateurs. Sur le terrain j’ai vu le rapport entre la construction d’un projet au bureau et l’exécution sur le terrain. Les objectifs, les indicateurs, et les buts sont très clairs au bureau, mais sur le terrain, ils deviennent compliqués et abstraits.

J’ai eu l’occasion de parler avec la plupart des médiateurs, âgés entre 20 et 30 ans. J’ai noté qu’ils ont profités personnellement et professionnellement, des entrainements. Beaucoup des jeunes ont parlés de leur soi d’estime, et comment ils avaient plus de la confiance de parler et approcher des gens dans leurs communautés après ils avaient fait les entrainements de SFCG. Par contre, pour la plupart des jeunes, la médiation est une manière de passer de temps pendant qu’ils cherchent un travail dans un autre cadre. La médiation n’est pas encore connue comme une occupation au Maroc. Si la médiation reste un cadre volontaire, ca sera difficile pour les entrainements d’avoir l’impact durable et à long terme sur la société.

Monday, December 6, 2010

Les Femmes au Maroc

Pendant mon travaille sur le terrain j’ai parlé avec des médiatrices autour de leurs expériences familials, des études, des travails… etc. et j’observe que ma vision de la liberté des femmes est en contradiction avec celle des femmes marocaines.

Participation Locale.
Les médiatrices disent qu'elles n'ont pas des difficultés pour participer dans la gestion locale. Cependant, je n’ai pas rencontré des femmes qui participent activement dans les affaires locales. Les médiatrices disent que les formations de la médiation sont les aider à augmenter la soi d’estime, mais quand j’ai demandé qu’est-ce qu’elles font dans la participation locale à part de la médiation, les médiatrices n'ont rien dit. Je trouve qu’elles n’ont pas un but de jouer un rôle civique dans les affaires de leurs communautés. En plus, je n’ai pas vu des leaders féminines pour encourager et motiver les femmes de chercher une carrière puissante.   Mes amies ont raconté qu’elles auraient voulu étudier la psychologie, ou le film, mais leurs parents les ont conseillé de faire les études dans un cadre plus facile, pour être sûr d’obtenir un travail. Je me demande, où es l'esprit de l'indépendance de la femme? Est-ce que la femme marocaine est prête de prendre des risques pour avancer sa vie moderne et indépendante?

La politique.
D’être mariée est très importante si une femme voudrait avoir le respect de la société ainsi que d’avoir les enfants. Quelqu’un m’a raconté que le Ministre d’Economie à Fès, une femme, est vu comme une marionnette. Les gens ne comprennent pas pourquoi elle n’est pas mariée, et pensent qu’elle a des problèmes. Elle a de difficulté d’obtenir le respect et la confiance de gens parce qu’elle est célibataire. Le Maroc a adopté le quota d’avoir 50% femmes dans les postes gouvernementales, mais le nombre de femmes dans le gouvernement n’est pas une mesure de leurs égalités.

La statu social.
J’observe que beaucoup de femmes marocaines sont contentes de s'occuper la maison et avoir les enfants selon que l'homme est riche. Les médiateurs souvent reçoivent des cas entre le mari et la femme, ou le mari ne travaille pas et c'est la femme qui est obligé de gagner d'argent et s'occuper de la maison et les enfants. La loi de la famille a été adopté en janvier 2004, et a donné la droit de la femme pour divorcer son mari. Cependant, elle doit prouver que son mari ne peut pas la supporter financièrement. Si le mari gagne d’argent et montre qu’il la donne d’argent, une maison, et des choses de valeur… etc. la judiciaire n’accepterait pas la côte de la femme.

L’amour est pour les jeunes, et ce n’applique pas aux mariés. Un mariage est un structure pratique, pour le statut social, et pour le bénéfice de la famille autour des mariés. Quand la fille est mariée, elle va quitter la maison de sa famille, et déménager dans la maison de la famille de son mari. Normalement les familles marocaines sont grandes, donc quand la fille quittera, sa famille tiendra plus d'argent. 


Les hommes cherchent une femme bien éduqué, belle, et musulmane, mais ils ne veulent pas une femme indépendante, parce que ca peut poser des problèmes de contrôle pour eux. L’indépendance des femmes n’est pas un caractéristique de valeur au Maroc.







Friday, November 19, 2010

Les différences entre l'arbitration et la médiation

Le gouvernement Marocain a fait des progrés dans le cadre de la médiation quand il a mise en œuvre une loi sur l'arbitrage et la médiation conventionnelle (loi 05.08), le 24 juillet 2007. Par contre, la loi a manqué de faire la différence entre l'arbitrage et la médiation. 


Il reste encore un manque de connaissance de la médiation et ses effets sur la résolution des conflits. La médiation diminue le numéro des conflits et des litiges dans une manière renforcer du développement indirectement. Ainsi que la médiation côte moins cher que le processus du litige.





L’Arbitrage
la Médiation
  Les juges jouent plus d’un rôle dans le cadre de l’arbitrage que la médiation 
Les participants trouvent solution selon les façons de dialogue
La parti tertiaire d’arbitrage a une obligation irrévocable de faire des décisions
Volontaire, aucune décision n’est imposée, le médiateur leur aide trouver une solution mutuellement satisfaisante
L‘arbitrage empêche sur l’équilibre de pouvoir entres les participants
Une force de levier pour les parties moins puissantes et permet de formuler leurs propres débats

 Les partis ont moins de la flexibilité
Flexible, consensuelle et informelle
Une solution pour le présent
Une solution ainsi qu’une méthode de la prévention et de garder les relations pour l’avenir
Environnement housard ou le juge décide le résultat
Environnement sécurisé et protégé pour les participants



Exemples de litiges: transactions commerciales (violation de contrat), relations socioprofessionnelles (La vie professionnelle salariée), aspects financiers liés aux conflits de famille (divorce), conflits de voisinage (les limites de propriété), conflits entre propriétaires et locataires, conflits entre consommateurs et entreprises (on respect par le vendeur de ses obligations à garantie[1])...etc. La médiation n’intervient pas dans les disputes liés au droit de la personnalité et les affaires d’ordre public.[2]



[2] Kamal Hachoumy, « Guide pratique des projets Dans le concept de « Common Ground » SFCG-Maroc. » Sept. 2010, pg. 14-15.