Formation à Fès
Deux groupes des jeunes médiateurs et des médiatrices ont assistés à une formation de la médiation, organisée par Search for Common Ground-Maroc (SFCG-M) le 8 – 11 novembre à Fès. Les participants ont tous déjà participés dans les formations de SFCG-M sur la médiation pendant le printemps, cependant, SFCG-M a eu des fonds supplémentaires à la fin du programme, et l’organisation a décidé de faire une deuxième formation. L’objectif de la formation était de renforcer les compétences de la médiation et journalisme des jeunes dans les deux villes. Pendant la semaine, les jeunes ont travaillés en équipes sur plusieurs projets: ils ont fait un reportage, fait une compétition du gestion de conflits, écouté la lecture d’un journaliste, Said Maouaj, de Radio Fès, ainsi qu’ils ont appris des techniques d’un logiciel d’audio.
En parallèle avec les objectifs de mon stage à SFCG-M, j’ai assisté à la formation pour mener de la recherche avec des participants. Le but de la recherche est d’écrire un cas d’étude qui analyse les liens entre les méthodes de la médiation et la participation locales des jeunes au Maroc. Pour rassembler des informations, j’ai d’abord créé un questionnaire. Deuxièmement, j’ai créé des questions pour les entretiens individuels. Les entretiens individuels ont inclus 14 participants entre les âges de 20 et 30 ans. Les participants font parti de sept femmes et sept garçons, ainsi que neuf viennent du Fès et cinq viennent du Meknès. Les questions sont au sujet de la participation locale, les compétences des jeunes dans la médiation, et les opinions des participants sur le rôle du média et la médiation pour gérer des conflits. L’objectif du questionnaire et les entretiens est de mieux comprendre l’effet des approches de la médiation et le média jouent pour réduire les conflits au Maroc, ainsi que les relations entre les jeunes et la gouvernance locale. En plus, les questions essaient de découvrir si les formations de la médiation avec SFCG-M a eu un impact sur la participation locales des jeunes.
Resultats
Les préliminaires résultats du questionnaire montrent que la plupart des participants ont dit qu'après les formations, plus souvent, ils :
- se sentent plus capable de participer dans les affaires locales (19/25 ou 76% des participants)
- se sentent plus capable de gérer des conflits dans mon communauté (17/24 ou 68% des participants)
- parlent avec des représentants locaux (17/25 ou 68% des participants)
- aident des amis/collègues/voisins… gérer un conflit (17/25 ou 68% des participants)
- 5/25 des participants, ou 20%, ont répondu qu’après les formations de la médiation, ils trouvent des obstacles pour participer dans les affaires locales plus souvent (réponse 5)
- 9/25 des participants, ou 36%, ont répondu qu’après les formations de la médiation, ils trouvent des obstacles pour participer dans les affaires locales moins souvent (réponse 1)
- 16/25 des participants, ou 64%, ont répondu qu’ils participent dans les affaires locales plus souvent (réponse 5) après les formations de la médiation
Conclusions
Parmi des autres, l’impression générale des entretiens c’est qu’il y a un manque de la confiance des jeunes dans la politique, ainsi qu’ils n’ont pas d’envie de participer dans les affaires. Beaucoup des jeunes ont dit que la médiation a leurs aidé sur le plan personnel. Beaucoup des filles ont noté qu’elles ont profité d’augmenter leurs estime de soi au cause des formations. Le grand problème pour créer une culture de la médiation au Maroc est que le gouvernement ne reconnu pas la médiation comme une profession. C’est presque impossible pour les jeunes de trouver un travail dans le cadre de la médiation, donc la médiation reste un activité auxiliaire pour les jeunes, jusque quand ils trouvent un emploi salarié.
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